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SOS effets indésirables : la nouvelle plateforme à l’écoute des victimes

Par 7 avril 202525 commentaires
sos effets indésirables

sos effets indésirables

Une nouvelle plateforme pour les victimes de la vaccination a été créée récemment. 

Il s’agit de : 

 🆘 [SOS EFFETS INDÉSIRABLES VACCINATIONS ET COVID] 🆘

Vous trouverez ici toutes les informations concernant ce projet.(1)

La ligne téléphonique, en France, est le 0972 129 808. 

Le mail de contact est : 

sos.ecouteei@proton.me

Ce service gratuit, animé par des bénévoles, a été lancé par différentes associations dont :

  • AAvicteam, qui est implantée dans l’Allier, (2)
  • Où est mon cycle ? (3)

L’objectif est d’aider des patients à comprendre si les symptômes qu’ils ressentent pourraient être liés à une vaccination. 

Sont concernés les vaccins covid et les autres. 

L’arrivée de la plateforme est la bienvenue pour les victimes et les citoyens, plus généralement.

Elle permet de donner au grand public une écoute et des conseils qui viennent compléter le travail effectué par les centres de pharmacovigilance. 

Les victimes ont longtemps été oubliées par le système sanitaire  

C’est une bonne nouvelle, d’abord, pour des raisons de volume.

Depuis que la vaccination existe, il y a des victimes de la vaccination. 

Certains systèmes immunitaires, ou certains organismes réagissent mal aux vaccins. 

C’est un phénomène connu et documenté. Vous pouvez par exemple consulter les livres de Michel Georget ou de Michel de Lorgeril si vous souhaitez approfondir cette question. (4,5)

Cela est potentiellement dû à l’identité immunitaire des personnes que l’on appelle aussi le système HLA. 

Mais dans la vaccination classique, le nombre de victimes était limité 

Avec les injections ARNm contre le covid 19, le nombre de victimes liés aux vaccins semble avoir augmenté en flèche. 

Ainsi, les centres de pharmacovigilance ont vu leur activité démultipliée. (6)

L’antenne de la région Centre à Tours, par exemple, a vu son chiffre d’appels mensuels passer de 1000 environ à plus de 6000. (6)

En 2023, l’ANSM a constaté que 126 802 cas d’effets indésirables avait été déclarés officiellement depuis le début de la campagne. (7)

Ces vaccins à ARNm peuvent causer en effet de nombreux effets secondaires tels que (8) : 

  • des myocardites, 
  • des péricardites, 
  • des thromboses,
  • de l’hypertension artérielle 
  • des troubles menstruels, 
  • de la paralysie faciale
  • des Érythèmes polymorphes
  • Herpes et zona
  • Des maladies auto-immune comme le syndrome de Guillain-Barré
  • Etc. 

D’autres effets indésirables plus classiques peuvent aussi apparaître comme la fièvre, la fatigue ou les nausées.

Et il n’est pas facile pour les patients de savoir si ce qu’ils vivent a réellement un lien avec la vaccination, surtout que ces effets indésirables peuvent apparaître plusieurs semaines voire plusieurs mois après l’injection et que le lien de cause à effet n’est pas toujours simple à mettre en évidence

SOS effets indésirables peut, dans ce cas, être un interlocuteur utile. 

Si vous avez des doutes, vous pouvez également consulter votre médecin pour mieux comprendre ce qui vous arrive. 

Une plateforme qui pourrait servir durablement 

Le développement des vaccins à ARNm pourrait induire davantage d’effets secondaires à l’avenir si cette technologie n’est pas mieux maîtrisée et testée. 

Mais ce n’est pas la seule raison. 

Depuis le 1er janvier 2025, le nombre de vaccins obligatoires est passé de 11 à 15 pour les bébés. (9,10)

On a ajouté des vaccins contre différents types de méningites aux vaccins qui étaient déjà obligatoires (Diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche, influenza, hépatite B, rougeole, oreillons, rubéole, pneumocoque, méningocoque, A, B, C, W et Y.) 

En tout cela fait 15 vaccins, 13 injections et 38 souches que TOUS les bébés vont se voir administrés au cours de leurs 2 premières années de vie. 

Ces vaccins sont obligatoires, en particulier si l’enfant entre en crèche si ses parents ont prévu d’utiliser ce mode de garde. 

Souvent on administre même deux vaccins comportant diverses souches en même temps. 

Si un effet secondaire survient, il sera difficile de savoir quelle souche ou quel élément du vaccin est responsable de ce problème. 

Ce renforcement de la vaccination obligatoire, passé sans que les médias n’y accordent beaucoup d’attention, pourrait augmenter le nombre d’allergies ou de maladies auto-immunes chez les enfants. 

C’est en tout cas la crainte d’une partie des médecins.

Les familles, plus que jamais, auront besoin d’être accompagnées par des associations et des thérapeutes indépendants et bienveillants. 

 

Références

  1. https://www.instagram.com/aavic_team_03/p/DEcfDDkC9g8/
  2. https://aavicteam.com/
  3. https://www.ouestmoncycle.com/
  4. https://www.editions-dangles.fr/auteur/143/michel-georget
  5. https://www.livres-medicaux.com/epidemiologie/23984-les-vaccins-a-l-ere-de-la-covid-19-vigilance-confiance-ou-compromis-.html?srsltid=AfmBOooU1H1K1bd1QbuJdSkHeVLpTlQe7tEAstsOwIgKIR1sWO2v9nL0
  6. https://www.lejdc.fr/dijon-21000/actualites/effets-secondaires-des-vaccins-le-centre-regional-de-pharmacovigilance-est-davantage-sollicite_13964440/
  7. https://ansm.sante.fr/actualites/point-de-situation-sur-la-surveillance-des-vaccins-contre-le-covid-19-periode-du-14-04-2023-au-8-06-2023?
  8. https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins
  9. https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F724
  10. https://crowdbunker.com/v/MrEotHPp

25 commentaires

  • ENGELS dit :

    Bonjour, il y a aussi la maladie de Charcot qui a été reconnue comme dû au vaccin covid.
    D’autre part une personne proche, vaccinée covid, a perdu la vue d’un oeil.

  • Habermacher dit :

    Si j’étais en âge de procréer je ne ferais pas d’enfants !!! Dans le texte du Conseil Constitutionnel il est spécifié que chaque personne est libre de faire des choix en matière de santé, les parents devraient pouvoir décider pour leurs enfants !!!. Autrefois une personne qui ne voulait pas aller se battre (objecteurs de conscience) n’était pas obligé d’y aller, ceci en temps de guerre. !!! Nous ne sommes plus une démocratie. Pendant le Covid j’ai envoyé 3 cartes de condoléances aux :
    – Conseil Constitutionnel
    – Assemblée nationale
    – Sénat
    En notant dessus :
    La démocratie est morte vive les Lobbys !
    Signe : Marianne

  • Maflor dit :

    Mes plus vives et intenses félicitations d’avoir crée cette plate-forme.
    En fait, le sujet des vaccins préoccupe depuis plus d’un demi-siècle une certaine population sensible aux signaux du corps et à l’état psycho-affectif des enfants.
    Il a fallu atteindre le débordement des effets secondaires suite aux injections géniques pour que vraiment beaucoup plus de personnes de différents milieux réagissent , Mais le débordement n’a pas encore servi à stopper l’invasion vaccinale puisqu’on a augmenté encore le nombres d’injections pour les bébés. Il y a encore trop de parents « endormis » qui sont soumis au diktat officiel plutôt qu’à leurs perceptions et aux expériences autour d’eux.
    Déjà en 1999 (donc ce n’est pas avant-hier!) Sylvie Simon a écrit un livre de 343 pages (il y avait donc beaucoup d’éléments à mettre en évidence!):
    « Vaccination, l’overdose ». Sa bibliographie est très fournie et cite des ouvrages de plus d’un demi-siècle. Les mères déjà à l’époque observaient que leurs bébés en pleine forme commençaient à présenter des affections aigues suite aux injections, il ne s’agissait pourtant que de 3 vaccins…
    Les homéopathes peuvent bien témoigner, eux qui recevaient les enfants malades quand les parents ne se résignaient pas à les voir dans cet état ou avec des médicaments qui n’empêchaient pas certaines rechutes.
    Les parents les plus audacieux refusaient les vaccins, se dressant tant face à leur pédiatre qu’à des voisins ou parents apeurés ou à l’administration.

    Le gros problème est qu’avec un vaccin, on cherche à obtenir un résultat sur une pathologie alors que tout être humain est un organisme où tout est relié. Un produit vaccinal peut par conséquent provoquer des réactions sur des organes affaiblis qui se défendaient suffisamment avant que les vaccins ne viennent briser cette défense. Ainsi , avec les produits anticovid ont révélé des fragilités qui ont conduit même jusqu’à la mort beaucoup trop de personnes.
    Même s’ils ne sont pas à ARNm, les vaccins peuvent donc affaiblir certains organes . Il faudrait tenir compte que l’organisme n’est pas parfait! Mais cela semble impossible pour ceux qui ne visent qu’un microorganisme….
    Renforcer un organisme n’est pas lui injecter un produit. Déjà l’injection est une violation du corps puisqu’on perce la peau agressivement alors que c’est un organe de protection du corps entier.
    C’est plus facile de ne pas tenir compte de l’unité de l’organisme mais il s’agit là d’une erreur de visée énorme qui doit réveiller ceux qui dorment encore.

  • Debril dit :

    Ils empoisonnent le monde avec leurs vaccins de merde

  • Jean-Philibert dit :

    Il est important de noter ce qu’est une « OBLIGATION ». C’est un terme contractuel qui précise un système de don et contre-don et de responsabilité mutuelle.
    En d’autres termes, si on décide de mettre son enfant en crèche ou autre lieu collectif, on dit qu’elles enfants doivent se faire vacciner. Or, ce n’est pas le cas. La vaccination sous contrainte est un non-sens administratif, puisqu’il est interdit d’imposer un traitement à quiconque ne le veut pas.
    L’enfant étant (encore) sous la responsabilité des parents, toi organisme qui imposerait une vaccination par la coercition serait succeptible d’être attaqué en justice. En effet, interdire à un enfant un accès à l’école « obligatoire », par exemple, est contraire aux droits de l’homme, à qui l’état annonce d’offrir une éducation.
    Bref, il suffit de faire des déclarations sur l’honneur ou par son médecin, annonçant que tant que la vaccination n’aura pas prouvé, sans opposition (c’est-à-dire que la science serait unanime sur le sujet, ce qui est loin d’être le cas), qu’elle est soit totalement inoffensive, soit efficace à 100%.
    Le droit fondamental à ne pas être traité comme un cobaye mais comme un être humain vivant et libre ne peut pas être bafoué.
    Si les organismes refusent, ils sont en tort.

    Seuls ceux qui oseront faire ces démarches seront libres. Mais il faut du courage pour oser vivre de manière alternative.

    La plateforme doit servir en partie à ça, sinon elle ne fera que valider u système qui traite l’être humain une première fois comme un cobaye, et ensuite comme une victime du fait d’être un cobaye.
    Ni victime, ni cobaye, nous sommes des êtres humains, vivants, avec le droit et le devoir de vivre libre.

  • Sireuille Francoise dit :

    Bonjour,
    J’aurais bien volontiers partagé sur Facebook, mais je n’ai pas trouvé de lien !
    Merci pour ce que vous faites
    Bien à vous
    Françoise Sireuille

  • de Montalembert dit :

    Pour que ce projet gagne en autorité, il faudra être vigilant sur la pertinence des cas à enregistrez. Très belle initiative, bravo

  • Montreuil Milès Hélène dit :

    Bonjour,
    Auriez vous un (ou des) nom(s) de médecin(s) bienveillant(s) sur la région Lorientaise qui prendraient encore des patients ?
    Je sommes arrivés sur la région depuis juin 2023…

    J’ai des symptômes qui vont et viennent et ne me quittent pas tout à fait ( sans avoir été injectée par ces choses !!!! )
    Merci
    Bien cordialement
    Hélène Milès Montreuil

    • Anouki dit :

      Il y a le phénomène de « shedding ».
      Cela veut dire que les vaccinés peuvent transmettre les poisons vers les non-vaccinés.
      Il vaut faire un détox.
      Jonathan Otto a écrit un e-book « Stop the shedding ».

  • delvalllee dit :

    J apprécie beaucoup votre démarche, mon conjoint a fait une myocardite après le second vaccin, mon fils et moi meme des troubles du rymthe et avons subi une intervention chirurgicale.
    Je n évoque pas une hypertension excessive ni une poussée de psoriasis dont l origine est plutôt incertaine ?

  • MELINE dit :

    Au delà de l’augmentation du nombre de vaccinations imposées aux bébés; dans un bloc de 11 à 15, sans aucune analyse sérieuse référencée et décrétées permettant officiellement d’être pratiquées sans risque, aucune vaccination (sauf cas particulier et d’urgence) ne devrait exister dans les deux ans révolus d’un enfant en France.

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